mercredi 7 novembre 2012

De la Louisiane à Port Lavaca (Magnolia Beach)

Deux jours de route encore, en grande partie sur le long de la mer, Bolivar Peninsula, Galveston Island entre autre. On passe au sud de Houston. Non non  je n’ai pas peur de passer dans Houston, on l’a déjà traversés  sans aucun problème, quoi que la première fois… Peu  importe, cette fois aucun trafic, nil, not, nitch, het. (Les curieux vont devoir aller voir sur Google traduction pour savoir!)  


Houston  plus de deux millions d’habitants, imaginer la manne pour les commerçants à une heure de route de là. Galveston Island offre la totale, hôtels à profusion, parcs d’amusement, tous les restaurants inimaginables sont présent, seul déception le Wal-Mart de la place ne permet pas le stationnement de nuit. Un court arrêt me permet de regarder sur mon GPS ce que nous réservent les miles à venir, dans 15 minutes, il y a le Galveston Island State Park et il y a un camping. J’entre les coordonnées sur l’ordi (GPS) et clique sur le point bleu qui est supposément le camping du parc en mentionnant prochain arrêt et en avant roule.  
On a roulé jusqu’au point bleu, dead end, le GPS me dit à droite, y’ai tu virer fou le GPS ???  À droite c’est l’eau, en avant une maison, à gauche, l’eau. Je tente un virage à 180, mais en vain il faut ‘’dépiner’’.  Oui, Sandra tu me l’avais dit que l’on était passé devant un grosse affiche disant Galveston Island Park. Mais parfois le parc et le camping ne sont pas à la même place, cette fois tu avais raison Sandra.

On revient sur nos pas pour environ deux milles, le bureau du parc est fermé mais la barrière est ouverte, alors on se prend un emplacement et on regarde le spectacle de son et lumière. Un orage passe un peu plus loin au-dessus de la mer, la madame est inquiète mais je la rassure.

Même si c’est la mer et la plage, on dirait que chaque ville ou village a son cachet, les maisons sont parfois  petites et basses par rapport au sol, parfois vingt pieds juchés dans les airs et immense. La route secondaire qui nous amène à Port Lavaca traverse des endroits qui me rappellent le Mexique, un cheval qui a juste assez de corde pour aller brouter jusque sur le bord du chemin,  des abris plutôt que des maisons. Mais ça ne dure pas, on arrive sur une méga, super centrale électrique, une usine de Alcoa qui fait des miles de long et là un autre pont, un de ses dizaines de pont que l’on a traversé de puis la Floride. Sur les dizaines de pont un seul est payant, 2,00$ mais pas large, quelques pouces entre les miroirs, la vues est ‘’malade’’ mais pas question d’être distrait.

Milieu d’après-midi, Magnolia Beach devant nous, ça ressemble tu à ce que j’avais vu ?, oui et non. Tout le monde prend leur photo  pointant  vers la sud, en fait une fois stationné vers l’est il y a, Alcoa. Mais c’est si loin que on va regarder vers le sud!  Pour les reste vu le prix par nuit 0$, on ne va pas se plaindre du panorama.

Tranquille, très tranquille, premier voisin de droite, plusieurs mille pieds, à gauche tout autant, devant Alcoa, mais tellement loin. Les roues avant sont à 6o pieds de l’eau. On sort nos chaises et on apprivoise les alentour quand  ‘’Des requins, des requins’’ s’écrie Sandra.
Ca va pas recommencer que je me dis! Fausse alerte, des dauphins. Cette fois l’eau est plus ou moins invitante à la baignade, pas à cause des requins, mais de sa couleur. On est près de la mer, mais toujours dans la baie. Pas de vent du large, mais pas d’eau bleu du large, on ne peut pas tout avoir. 

Aucun commentaire:

Publier un commentaire