Houston plus de deux
millions d’habitants, imaginer la manne pour les commerçants à une heure de route
de là. Galveston Island offre la totale, hôtels à profusion, parcs d’amusement,
tous les restaurants inimaginables sont présent, seul déception le Wal-Mart de
la place ne permet pas le stationnement de nuit. Un court arrêt me permet de
regarder sur mon GPS ce que nous réservent les miles à venir, dans 15 minutes,
il y a le Galveston Island State Park et il y a un camping. J’entre les coordonnées
sur l’ordi (GPS) et clique sur le point bleu qui est supposément le camping du
parc en mentionnant prochain arrêt et en avant roule.
On a roulé jusqu’au point bleu, dead end, le GPS me dit à
droite, y’ai tu virer fou le GPS ??? À
droite c’est l’eau, en avant une maison, à gauche, l’eau. Je tente un virage à
180, mais en vain il faut ‘’dépiner’’. Oui,
Sandra tu me l’avais dit que l’on était passé devant un grosse affiche disant
Galveston Island Park. Mais parfois le parc et le camping ne sont pas à la même
place, cette fois tu avais raison Sandra.
On revient sur nos
pas pour environ deux milles, le bureau du parc est fermé mais la barrière est
ouverte, alors on se prend un emplacement et on regarde le spectacle de son et lumière.
Un orage passe un peu plus loin au-dessus de la mer, la madame est inquiète
mais je la rassure.
Même si c’est la mer et la plage, on dirait que chaque ville
ou village a son cachet, les maisons sont parfois petites et basses par rapport au sol, parfois
vingt pieds juchés dans les airs et immense. La route secondaire qui nous amène
à Port Lavaca traverse des endroits qui me rappellent le Mexique, un cheval qui
a juste assez de corde pour aller brouter jusque sur le bord du chemin, des abris plutôt que des maisons. Mais ça ne
dure pas, on arrive sur une méga, super centrale électrique, une usine de Alcoa
qui fait des miles de long et là un autre pont, un de ses dizaines de pont que
l’on a traversé de puis la Floride. Sur les dizaines de pont un seul est
payant, 2,00$ mais pas large, quelques pouces entre les miroirs, la vues est ‘’malade’’
mais pas question d’être distrait.
Milieu d’après-midi, Magnolia Beach devant nous, ça
ressemble tu à ce que j’avais vu ?, oui et non. Tout le monde prend leur photo pointant vers la sud, en fait une fois stationné vers l’est
il y a, Alcoa. Mais c’est si loin que on va regarder vers le sud! Pour les reste vu le prix par nuit 0$, on ne
va pas se plaindre du panorama.
Tranquille, très tranquille, premier voisin de droite,
plusieurs mille pieds, à gauche tout autant, devant Alcoa, mais tellement loin.
Les roues avant sont à 6o pieds de l’eau. On sort nos chaises et on apprivoise
les alentour quand ‘’Des requins, des
requins’’ s’écrie Sandra.
Ca va pas recommencer que je me dis! Fausse alerte, des
dauphins. Cette fois l’eau est plus ou moins invitante à la baignade, pas à
cause des requins, mais de sa couleur. On est près de la mer, mais toujours
dans la baie. Pas de vent du large, mais pas d’eau bleu du large, on ne peut
pas tout avoir.
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