lundi 26 novembre 2012

Première traversée au Mexique pour 2012


Nous nous sommes levés ce matin, prêt pour notre grand périple!
Aujourd’hui on traverse au Mexique pour la première fois cette année. J’avais vraiment hâte de retrouver mes amis les mexicains, je les adorent. Alors on se lève, on sort nos passeports et on se brosse les dents deux fois plutôt qu’une. Ben oui, je dois vous dire que notre but c’est de trouver un dentiste, j’ai besoin d’une couronne, j’ai un plombage qui est tombé et la dent est pas mal amoché, aussi chacun un nettoyage. Alors on part pour ce long voyage. (lol)  je dois être honnête avec vous, nous sommes à 15 minutes de la frontière ah ah.
Alors nous partons pour ce court voyage, on stationne le jeep juste avant ‘’the border’’ et on marche deux minutes pour arriver au pont qui sépare le Texas du Mexique.  On n’a pas commencer à marcher sur le pont que l’on aperçoit des bras qui dépassent entre les piliers de la structure. Ben oui! Des mères et des enfants qui veulent être les premiers à récolter de l’argent, ils se placent sous le pont, s’agrippent ou ils peuvent et passent leur bras tenant une casquette dans leurs mains en guise de porte-monnaie. Ils demandent la charité, je vous entends me dire mon dieu j’espère que vous avez donné? Ben non! on ne donne pas! À tous les  deux pas on se fait accoster, alors il faut être sélectif. Toujours est-il,  ont fini par traverser le pont des ‘’bras’’ et nous arrivons à l’adresse que Richard avait noté pour le dentiste.
Seulement dix minutes de marche pour y arriver. Mais à tous les deux pas on se fait accoster, dentiste! Hair cut! Belts ,bracelet, pharmacy Ect. Ils nous talonnent sans arrêt mais je l’ai aime et j’avais vraiment hâte d’y retourner.
Je me souvenais de façon certaine d’au moins trois mots de mes cours d’espagnol. Buenos dias, como se yama et cuento es?  Alors dans ma tête c’était comme un quiz il fallait que je place mes trois mots quelque part! (lol)   On arrive chez le dentiste, en entrant je dis, ‘’buenos dias’’ Yes, un de placé! La dentiste n’était pas là, une hygiéniste dentaire d’en face est venu nous dire, je vais l’appeler ça ne sera pas long. Elle est arrivée 15 minutes plus tard, elle était à son autre clinique. Elle est entrée, on fait les présentations et on lui dit ce que l’on a besoin, elle nous donne son prix, 350$ pour une couronne, trois plombages et deux nettoyages.
 Au Canada tout ça nous aurait couté 1,400$, non mais on se fait tu fourr... correct. Une heure et demi plus tard on repart, mais avant je remercie l’hygiéniste dentaire d’en face pour nous avoir aidé pour la traduction (il parlait très bien l’anglais) et je lui demande, como se yama? Il me répond, Franck, Francesco ou François en français, ben oui ca voulais dire quel est ton nom! Bravo Sandra plus qu’un mot à placer et tu gagnes. On sort du dentiste et Richard me dis, on vient de sauver 1,000$,  te rends tu compte?  Alors la madame est pas folle, je lui dit il faut fêter ça. On marche deux minutes et on s’arrête pour prendre une bonne cerveza. Le serveur nous demande 1$ pour chaque cerveza  non mais franchement pas cher hein? Finalement il restait les pilules à Richard à acheter avant de revenir au Texas, ses pilules pour le reflux acide. On arrête à la pharmacie et Richard lui demande en anglais How much? Le Mexicain ne comprend pas, go Sandra, c’était ta chance de placer ton troisième mot! Alors de tout mon grand sourire encore gelé je lui dit! Cuento es? Il répond 5,95$ pour une bouteille, j’attendais des applaudissements, mon quiz était fini et réussi. Mais je me suis rendu compte que le quiz était seulement dans ma tête. (lol) 
Alors encore une fois juste pour vous remettre dans le contexte les pilules à Richard pour un an achetés au Mexique coute 15$,  au Canada ça aurait couté 500$ pour un an… c’est quoi notre problème au Canada? Il y a quelque chose que l’on n’a pas compris je pense…. Notre journée s’est terminée ainsi, le dentiste ‘’checked’’, pilules ‘’checked’’.  Merci mes amis les Mexicains.
Mucho gracias!!!!

mercredi 14 novembre 2012

Port Aransas

Trois nuits passés à Port Aransas, deux jours à chercher des caches, on en a trouvés vingt six sur une cinquantaine que l'on avait identifiés dans le secteur. Pour vous donner une idée du type de cache que l'on a pu trouvé regarder la photo, la capsule contenant le ''log book'' était sous ce crane.
 

On retiendra de Port Aransas le banc de raies le long du canal, les dauphins qui agrémentent la traversée entre Port Aransas et Aransas Pass. Une toute petite traversée de trois ou quatre minutes, à se demander pourquoi il n'y a pas de pont. Comme la question me ''trottait'' dans la tête je suis allé voir sur internet, comme on trouve tout sur internet, j'ai appris que la difficulté tient au fait que la courte distance entre les deux rives associé au fait que les bateaux qui passent dans le canal sont de taille imposante. Le pont serait du type côte très accentuée surtout à la sortie du coté de Port Aransas ou c'est limité en espace.

La plage est facilement accessible un peu partout, il y a bien quelques hôtels mais l’endroit a garder son cachet. On a le sentiment qu'on a fait le tour de la place, on va donc lever les ''jacks'' demain pour, pour on ne sait pas encore où.

lundi 12 novembre 2012

Magnolia Beach Texas


J'avais trouvé cet endroit en faisant des recherches sur internet, on disait qu'on  pouvait y retrouver une trentaine de VR sur cette plage. À notre arrivée il y en a trois ou quatre, on s'installe un peu à l'écart. Un fois installé on part prendre une marche pour voir les alentours. On rencontre des Canadiens qui sont sur place pour la pêche. On s'informe et on écoute les conseils, comme on avait nos cannes à pêche on se prend un permis de pêche en ligne, car malheureusement, l'employé (excusez l'associé) du Wal-Mart après m'avoir fait attendre quinze minutes me dit qu'il n'est pas capable de trouver l'option non résident.

Nos professeurs Lise et Jean qui sont à leur douzième visite dans ce petit coin peu connu, nous donnent leurs trucs. On vois bien que ma canne à moucher ne sera pas à la hauteur, l'autre qui est un lancer léger peut faire l'affaire en autant qu'on se limite à une pesée de un once. Comme la température est belle (au alentour de 28 à 30 ) et qu'on pense rester quatre ou cinq jours ou tant qu'on va avoir de l'eau dans le réservoir, on fait l'achat d'une canne à pèche plus longue et plus rigide.

On fait quelques prises, rien d'énorme mais on s'amuse bien. À notre cinquième journée, la plage qui était jusque là presque déserte se remplie, deux fifth weels à gauche, trois motorisés à droite. On se retrouve en fin de journée huit unités cote à cote, tous des Québécois. Ça prend pas de temps que le monde se présente et ça placote de tout et de rien et ça fini par un ''happy hour'', qui se termine en même temps que le soleil se couche.

Lundi matin, ce n'est pas le ''crack'' boursier, mais le ''crack'' du mercure, on passe du costume de bain au polar. Le vent à changer de bord c'est le cas de le dire, en milieu de nuit, il doit faire 24, ou 25 degrés, aucun vent on repousse les couvertures, mais au petite heure du matin le vent est là et on cherche nos ''couvertes''. Le vent du nord fait baisser la température au alentour de 14 ou 15C. On s'était dit, on reste tant qu'il fait beau ou que on a de l'eau. Coïncidence ou pas les deux arrivent en même temps, on plie bagage et on continue notre route après avoir salué nos voisins des derniers jours. En route pour Port Aransas.

mercredi 7 novembre 2012

De la Louisiane à Port Lavaca (Magnolia Beach)

Deux jours de route encore, en grande partie sur le long de la mer, Bolivar Peninsula, Galveston Island entre autre. On passe au sud de Houston. Non non  je n’ai pas peur de passer dans Houston, on l’a déjà traversés  sans aucun problème, quoi que la première fois… Peu  importe, cette fois aucun trafic, nil, not, nitch, het. (Les curieux vont devoir aller voir sur Google traduction pour savoir!)  


Houston  plus de deux millions d’habitants, imaginer la manne pour les commerçants à une heure de route de là. Galveston Island offre la totale, hôtels à profusion, parcs d’amusement, tous les restaurants inimaginables sont présent, seul déception le Wal-Mart de la place ne permet pas le stationnement de nuit. Un court arrêt me permet de regarder sur mon GPS ce que nous réservent les miles à venir, dans 15 minutes, il y a le Galveston Island State Park et il y a un camping. J’entre les coordonnées sur l’ordi (GPS) et clique sur le point bleu qui est supposément le camping du parc en mentionnant prochain arrêt et en avant roule.  
On a roulé jusqu’au point bleu, dead end, le GPS me dit à droite, y’ai tu virer fou le GPS ???  À droite c’est l’eau, en avant une maison, à gauche, l’eau. Je tente un virage à 180, mais en vain il faut ‘’dépiner’’.  Oui, Sandra tu me l’avais dit que l’on était passé devant un grosse affiche disant Galveston Island Park. Mais parfois le parc et le camping ne sont pas à la même place, cette fois tu avais raison Sandra.

On revient sur nos pas pour environ deux milles, le bureau du parc est fermé mais la barrière est ouverte, alors on se prend un emplacement et on regarde le spectacle de son et lumière. Un orage passe un peu plus loin au-dessus de la mer, la madame est inquiète mais je la rassure.

Même si c’est la mer et la plage, on dirait que chaque ville ou village a son cachet, les maisons sont parfois  petites et basses par rapport au sol, parfois vingt pieds juchés dans les airs et immense. La route secondaire qui nous amène à Port Lavaca traverse des endroits qui me rappellent le Mexique, un cheval qui a juste assez de corde pour aller brouter jusque sur le bord du chemin,  des abris plutôt que des maisons. Mais ça ne dure pas, on arrive sur une méga, super centrale électrique, une usine de Alcoa qui fait des miles de long et là un autre pont, un de ses dizaines de pont que l’on a traversé de puis la Floride. Sur les dizaines de pont un seul est payant, 2,00$ mais pas large, quelques pouces entre les miroirs, la vues est ‘’malade’’ mais pas question d’être distrait.

Milieu d’après-midi, Magnolia Beach devant nous, ça ressemble tu à ce que j’avais vu ?, oui et non. Tout le monde prend leur photo  pointant  vers la sud, en fait une fois stationné vers l’est il y a, Alcoa. Mais c’est si loin que on va regarder vers le sud!  Pour les reste vu le prix par nuit 0$, on ne va pas se plaindre du panorama.

Tranquille, très tranquille, premier voisin de droite, plusieurs mille pieds, à gauche tout autant, devant Alcoa, mais tellement loin. Les roues avant sont à 6o pieds de l’eau. On sort nos chaises et on apprivoise les alentour quand  ‘’Des requins, des requins’’ s’écrie Sandra.
Ca va pas recommencer que je me dis! Fausse alerte, des dauphins. Cette fois l’eau est plus ou moins invitante à la baignade, pas à cause des requins, mais de sa couleur. On est près de la mer, mais toujours dans la baie. Pas de vent du large, mais pas d’eau bleu du large, on ne peut pas tout avoir. 

dimanche 4 novembre 2012

Vermillionville

Reconstitution d'un village Cajun typique des années 1800, Vermillionville vous ramène dans le temps, le temps ou rien n'avait l'air facile. Les maisons ont étés déplacées et restaurées mais il s'agit de maisons originales et non de reproduction, les planchers n'ont pas l'air usés, ils sont usés et ils craquent pour vrai.

Obliger de faire avec les matériaux qu'ils avaient sur place, les débrouillards Cajuns avaient développés la technique du bousillage, de la boue mêlé de mousse séchée question de de la rendre plus légère et plus isolante. Fraiche en été et chaude en hiver les maisons étaient plus confortable que les huttes de pailles qu'ils out habités à leur arrivée quand ils ont étés déportés.

En entrant dans l'école on fait la connaissance de monsieur Fonteneaux, un Cajun de 89 ans qui partage ses souvenirs avec les gens qui entrent dans son école. ''Tu vois le pupitre là, c'était le mien, je jouais avec les long cheveux de la petite fille assis en avant de moi et je les mettais dans le trou que tu vois'', remplis de souvenir il aurait bien aimé qu'on reste toute la journée avec lui, il y a peu de visiteurs cette journée là et on a eu droit a quelques tours de violon, il fait parlé son violon et fait des bruit d'oiseau entre autre.

Vous pourrez voir sur la photo le tableau qui montre la phrase '' Je ne parlerai pas Français à l'école ou dans la cour d'école'' la punition était d'écrire cette phrase 100 fois. Monsieur Fonteneaux nous confie qu'il a dû écrire la phrase 100 fois à quelques reprises. Difficile de cacher le fait que le but était l'assimilation, une fois de plus les Acadiens devaient se battre pour garder leur langue et leur culture.

La visite du musée Jean Lafite ou on explique le cheminement des Acadiens de leur terre natale en France, de leur colonisation d'une partie de la Nouvelle-Écosse et finalement leur déportement un peu partout dans différent états Américain. Le film qui dure trente minutes est très bien fait et vous plonge dans des lieux d'époque et montre avec quel brutalité ils ont étés traités. Et tout ca par ce qu'ils parlaient Français et avaient une religion différente des Britannique.

Plus ça change plus c'est pareil ! Les conflits et les guerres qui se continues de nos jours ont tous comme raison la religion et ou la langue. A quand une langue et une religion universelle ?

Question de ne pas repartir sur cette note négative on retourne à Vermillionville pour assister au ''jam'' de musique Cajun. Des musiciens se réunissent les samedis et dimanches pour jouer de la musique, il y en a un qui part le bal et les autres tentent de le suivre, parfois un peu cacophonique c'est toujours entraînant. J'ai mis un vidéo de 15 secondes avec les photos pour vous donner une idée de l'ambiance.


samedi 3 novembre 2012

La Fayette downtown


Arrivé la veille à La Fayette et suite aux renseignements qu'on avait eu au centre touristique, on a profiter du fait que le vendredi il y un groupe de musique Cajun qui se produit sur scène à un des parcs municipale dans le vieux La Fayette.

''La musique commence à 5 heure au parc International'', nous a t’ont dis. Erreur c'était à 6 heures au parc Sans Souci! Les 2 parcs étant très près l'un de l'autre on voyait bien que les préparatifs se passait du coté du parc Sans Souci.

On en a profiter pour marcher les rues du downtown, rien de particulier sauf l'avenue Jefferson qui est bordé de cyprès matures qui fait en sorte que la rue est ombragé même en plein après midi, il fait 80F et on ne le ressent pas vraiment. C'est tranquille, peu de monde plusieurs commerce fermés, les seuls qui semblent prospères se sont les bars. Beaucoup d'affiches sont en Français, même le mémorial du 9 septembre affiche les deux langues. Arrêt sur un terrasse juste en face du parc Sans Souci d’où on peut voir l'avancement des préparatifs.

À 5 heure on installe nos chaises, le drummer met en place son drum, 5.15 le guitariste arrive et finalement 5.30 le reste du groupe se présente. Test 1 2 , 1,2 test, deux techniciens de son changent les fils de place et règlent les problèmes de feedback.

Finalement vers 6 heure ils débutent le spectacle avec leur grand succès, ''les haricots sont pas salés bébé'', ça prend quelques secondes et la place se mets à grouiller, je me surprend à taper du pied, la musique Cajun s'est entraînant pas à rien qu'un peu. Le groupe enchaîne une ''tounne'' après l'autre, la musique est bonne mais toujours un peu sur le même ton, on décide de partir après ''le petit cochon au lait''.

C'était drôle de voir les gens s'amuser en écoutant la musique sans qu'ils ne comprennent un mot au paroles Cajun, l'Américain assis à coté de moi me le confirme, née près de New Orleans il vis ici maintenant et comme tout ceux qui n'ont pas eu de parents Francophone à la maison, il trouve la musique Cajun le ''fun'' mais n'y comprend rien.

Seule déception, pas de nourriture Cajun sur place comme on nous l'avait dit, seul un kiosque de hot- dog, on passe notre tour!

jeudi 1 novembre 2012

Jambalaya!

Jambalaya!

Arrivée à LaFayette en début d'après midi ce premier jour de novembre et question de se mettre dans l'ambiance on s'est dit on va manger Cajun ce soir, alors s'offre à nous trois options : Crawfish (écrevisses), crevettes à l'étouffé ou jambalaya. Maudite chance pour nous autre la saison des écrevisses va de janvier à mai. Il nous restait à trouver des crevettes, pas question d'aller dans l’allée du congelé au WalMart ou ailleurs, il fallait trouver ''la place'' pour acheter du frais. La madame du centre de tourisme de LaFayette nous dis, '' Seefood chex François, juste l'autre coté de la track''. Quelques détour plus tard on passe devant chez François. Mais trop tard sens unique il faut continuer et revenir sur nos pas.

Chez François c'est la caverne d’Ali baba de tout ce qui s'appelle fruit de mer et ou poisson et ou batracien ou en gros tout ce qui vit dans l'eau. Cuisse de grenouille, patte ou steak d’alligator, tortue, crevette et j'en passe. On s'en tient à notre plan initial, crevette et un pot d'assaisonnement à l'étouffé. Il y a une recette pour faire l'étouffé mais on s'est dit on va faire confiance à ce petit pot de couleur pas nécessairement vraiment vendeur. Confirmé, la saveur dans le petit pot n'avait rien à voir avec la couleur, le mélange crevette et sauce à l'étouffé fait l'unanimité. Le Jambalaya à la saucisse bon mais un peu piquant pour Sandra, moi j'ai bien aimé.

Demain on va aller voir le spectacle de musique Cajun et on se propose de manger sur place question de comparer...

De Bâton-Rouge à...

De Bâton-Rouge à Matane Mexico Beach

Isabelle Boulay a fait une belle chanson avec Bâton-Rouge comme point de départ, nous ce fut notre point d’arrivée en ce soir de l’Halloween, Sandra et moi se sont déguisé en deux clients affamés pour faire une razzia dans le buffet de patte de crabe à volonté. Je vous garantis qu’on est rentré dans notre argent, en plus, droit de stationner gratuitement sur le terrain du casino.

Notre départ était deux jours plus tôt, c’est-à-dire Mexico Beach ou nous sommes restés 3 jours, on a vite fait le tour de la place, venteux et mercure aux alentours de 65F. Et oui, même si on est à des centaines de milles de Sandy (quoi que moi le chanceux je suis toujours proche, proche de le vrai Sandy!) on en a ressentis les effets. On se disait que les choses à faire lors de nos prochains arrêts mériteraient qu’il fasse plus chaud et qu’une petite pause serait correcte, on en n’a profité pour chercher quelques caches. 

Nous avons passés les deux derniers jours sur la route, plusieurs arrêts, route panoramique tout le long de la mer. Les plages sont magnifiques et l’eau est d’un beau vert émeraude, ces villes sont digne de mention : Panama City Beach FL, Destin Beach FL, Orange Beach AL, Biloxi et Gulf Port MS.

Mercure de retour aux alentours de 75-80 aujourd’hui avec les même températures pour les quatre ou cinq prochains jours, prochaine destination Lafayette, on s’est fait dire que c’était beau et plaisant à visiter, on vous en reparle.