On vous avait parlé du géocaching lorsqu'on avait découvert que ça existait pendant notre première visite en Arizona en 2012. Une des raisons de ce deuxième séjour dans le désert de l'Arizona c'est l'abondance des géocaches.
Chemin faisant j'ai commandé en ligne chez Wal-Mart le GPS Magellan GC, spécialement fait pour le géocaching, pas besoin de se traîner un calepin pour voir ou prendre des notes comme s'était le cas avec mon vieux GPS qui datais d'au moins dix ans.
Tout est sauvegardé dans l'appareil. On télécharge à partir de www.geocaching.com une série de cache sur notre ordi, que l'on transfert par la suite sur le GPS et nous voilà prêt à partir à la recherche de centaines de caches. Le fichier Quartzsite que j'ai sur le GPS contient cinq cent caches, on en aurait pour tout l'hiver à faire le tour.
Il y a une quantité impressionnante de routes et de trails pour les VTT et autre véhicule hors route, les abord de ces sentiers sont parsemés de cachettes. Souvent prévisibles de par leur nom, ou trop évidentes quand un tas de roches qui ne peut avoir été empilé de cette façon par dame nature se dresse au milieu du désert.
Mais parfois l'ingéniosité des propriétaires de caches nous surprend, aucune évidence, le GPS nous confirme que l'on est bien au bon endroit, mais il nous faut chercher chaque branches et crevasses des arbres. Dix minutes et parfois plus sont nécessaire pour trouver la capsule ou la boite contenant le log book. Pas question de tricher, on cherche jusqu'à ce qu'on trouve ou on rapporte notre visite comme pas trouvé. Notre moyenne est bonne, on se plait à penser que si on ne trouve pas c'est parce que la cache as été déplacé. Ça arrive parfois comme hier quand on a trouvé une capsule à 25 ou 30 pieds du point zéro que nous donnait le GPS, la capsule probablement mal replacé par le visiteur précédent avait été poussée par le vent. Mais on sait aussi que certains sont tellement astucieux qu'ils réussissent à rendre complètement invisible dans l’environnement le contenant parfois petit, même très petit.
L'exemple de cette cache sur les photos, ou en s’approchant de ce tronc d'arbre mort on se dit ça va être facile faut que ça soit là. On regarde autour et à l'intérieur, pas de trace de contenant, on étend nos recherches à une dizaine de pieds tout autour. Parfois le GPS nous donne le point exacte parfois il y a une marge d'erreur de deux à trois mètres, oubliez pas que Oncle Sam contrôle la précision des satellites de positionnement !!. On revient au tronc d'arbre, que des tiges de bois encore bien attachés à ce reste de ce qui fut jadis un arbre, toutes les tiges sont solides, tous sauf une. En la retirant un peu comme on retirerait une paille au milieu d'une boite qui en contiendrait une centaines, on aperçoit la capsule, une cartouche de calibre 12 vide et peinte couleur camouflage attaché avec un Tyrap.
Si vous allez voir sur picassa (adresse et lien en rouge en haut de cette page) vous verrez dans le dossier Quartzsite 2014 d'autre photos de caches qu'on pense digne de mention comme celle de la capsule attaché à une roche qui se dissimulait sous terre par quelques pouces. Il y a des roches partout dans le désert, pourquoi décider de lever celle là plutôt que la centaine d'autre qui jonchent le sol. Parce qu'on avait épuisé toute les autres options.
En gros ce qu'on aime bien de ce jeu, c'est de se faire surprendre. À plus tard car on enfourche le 4 roues et on part à la recherche de d'autre cachettes, et d'autre surprises.
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