Nous voilà de retour chez l’oncle Sam depuis vendredi le 7
mars, en ce dimanche matin les culottes longues sont de mises. Le système de
chauffage fonctionne encore bien lui que l’on n’avait pas utilisé depuis
quelques mois... On passera la semaine ici à Harlingen et par la suite la
température guidera nos déplacements jusqu’au retour quelque part les premiers jours
d’avril.
Mais le but aujourd’hui est de vous parler de la nouvelle route
récemment ouverte reliant Mazatlan et Durango. Avant aout 2013, pour aller d’une
ville à l’autre il fallait prendre la route 40 qui traverse ce qui est appelé la
espinosa del diablo, l’épine dorsale du diable en Français. J’en avais entendu parler
par différente personne et toutes les publications relative au voyage en VR mentionnent
que cette route était à éviter car trop dangereuse. La topographie est unique
et déjà d’avoir construit une route à un endroit semblable était un exploit.
Avec la possibilité de creuser des tunnels et de construire des ponts le diable
a eu droit à toute une chirurgie.
On va de pont à tunnel, de tunnel à pont de maintes fois, les routes de Charlevoix
sont de la petite bière à côté de ça, malheureusement aucun endroits possible
pour s’arrêter et prendre des photos, mon co pilote en a prises quelques-unes à
travers les fenêtres du motorisé qui sont pas pire quand même.
Nous ne pensons pas retourner à Mazatlan éventuellement et
je suis bien content d’avoir parcourue la nouvelle 40D, Mazatlan-Durango. Nous
avons continués sur la 40D jusqu’au moment de sortir pour le Texas. La 40D
traverse une partie des villes de Torreon et de Saltillo, ce n’est pas trop congestionné
comparativement à Guardajara, quoi que les Mexicains n’y soient pas plus
courtois au volant. On contourne Monterey par le péréférico et le dernier 250
kilomètres se fait en ligne droite jusqu’à Reynosa. Pour ceux voyagent sur les
autopista Mexicaine, il y a ce site www.redviacorta.mx ou il est possible de faire la route (disena
ta ruta) et de voir le coût pour les péages à l’avance, utile quand le préposé
au poste de péages ne sait pas trop comment nous charger. On peut voir dans
leur figure le questionnement est-ce un autobus, un camion, quoi une auto
accrocher en arrière, ça ne rentre pas dans aucune des catégories préprogrammé
sur son clavier de caisse enregistreuse. J’ai utilisé à deux reprises la
feuille imprimée de leur site web en la montrant au préposé qui me réclamait
plus d’argent, je m’en confesse quand il ne me chargeait pas l’auto je ne m’obstinais
pas, ce qui fut le cas à trois ou quatre reprises.
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