vendredi 28 mars 2014

Le Natchez trace parkway

Entre les années 1800 et 1820, la Natchez Trace était le route la plus fréquentée du sud-ouest des États-Unis, on s’entend par route que c’était emprunter par des gens à pied ou à cheval. On dit qu’au début ce fut des pistes de chasseurs qui se sont au fil du temps réunis pour former la Natchez Trace.


TRADUCTION DE CE QUI EST ÉCRIS SUR LA PLAQUE:


''Voici la Natchez Trace. Pour plusieurs années elle a bien servi les hommes, comme bien des choses  n’ayant plus d’utilité, elle fut abandonnée. Au fil des années l’empreinte de ce tracé a été un témoin silencieux de l’honneur et du déshonneur. Elle porte les traces innombrable hommes. Marchez la piste ombragée, laissez vos traces dans la poussière, non pas pour que les autres les voient, mais pour que la route se rappelle''.



Le Natchez Parkway est en fait un parc fédéral Américain, il s’étend sur les 440 miles que la route couvre de Natchez Mississipi à Nashville Tennessee. Il y a plusieurs aires de repos et de pic-nic, quelques centres d’accueil pour visiteurs et trois campings disponible sans frais sur la base de premier rendu, premier servis.  À plusieurs endroits il est possible de marcher une des sections conservés de la Natchez Trace originale.

La route est très belle, 95% de la longueur est en parfaite condition, seul une section de 24 miles était en construction au moment de notre passage fin mars. Il n’y a pas de montés raide ni de courbes prononcées ce qui rend la conduite de gros véhicule et de VR très plaisante, j’ai la plupart du temps mis le régulateur de vitesse (cruise) à 50 mph qui est la vitesse maximum permise. Même si la chaussée n’est pas large, les abords de la route sont bien dégagés et on n’a pas l’impression d’être à l’étroit.

Nous avons décidés de voyager sur cette route car des amis nous en avaient parlés et qu’ils avaient bien aimés. L’idéal est de parcourir les 440 miles sur trois jours, ça donne la chance de visiter les trois campings.  On a fait le voyage du sud vers le nord.

Notre premier soir on a fait un arrêt au camping Rocky spring, dans l’après-midi nous avons marchés une section de 3 kilomètres de ce qu’ils appellent la ‘’Old Trace’’, la piste mène  au site de ce qui fut jadis le village de Roky spring, une église un cimetière et deux coffres forts sont tout ce qui reste de ce village de 2700 âmes. La source ne coule plus mais on peut voir l’amoncellement de roches d’où l’eau devait à l’époque jaillir. Au retour de notre marche on a ramassé du bois et on s’est fait un feu.





Le lendemain, visite du camping Jeff Busby, autant il faisait beau la veille aujourd’hui il vente et c’est froid, incroyable comment 150 miles plus au nord peut faire une différence! On se fait un feu mais on n’a pas eu la chance de s’y assoir pour en profiter. Ma fibre de pionnier commençait à ressortir, après deux jours à être exposé à toute cette histoire qui déroule sous nos yeux quand on roule, j’ai fait cuire le souper sur la braise mais pas question de manger dehors.

À notre troisième journée on fait un arrêt à Tupelo (voir autre article), destination finale de la journée le camping du parc de Meriwether Lewis. À quelques kilomètres avant d’arriver au camping on pouvait voir au loin un énorme nuage de fumée, je dis en farce à Sandra, ‘’le camping est en feu’’. En entrant dans le parc la fumée semble avoir disparue, mais au fur et à mesure qu’on avance sur la route sinueuse du parc qui mène au camping, on aperçois des employés du service des parcs qui sont à faire du brulage. Le site  est magnifique et on décide de s’y installer même si ça sent la boucane. Une demi-heure plus tard, on étouffe, pas un bris de vent pour chasser la fumée qui semble faire du sur place, on ferme les slides out, on lève les jacks et on reprend la route. Faut aussi dire que le temps qu’on se demandait si on l’allait restés ou pas, j’ai jeté un coup d’œil à la météo locale et il y avait une alerte météo de vent violent avec possibilité de développement de tornades. Comme on avait vu plus tôt dans la journée une affiche pour annoncer des sections sur le long de la route qui avaient étés ravagés par le passage d’une tornade en 2011, ça nous a aidé à se décidés… on couche finalement à Bowling Green dans un Wal-Mart. Le mauvais temps monte vers le nord et l’avertissement de vents forts se termine à Cincinnati, on s’y rend le lendemain et on s’installe pour deux nuits au East Fork state park.

Au moment d’écrire cet article il nous reste deux jours avant notre retour à Cambridge. Nous avons bien hâte Sandra et moi de revoir nos enfants et petits-enfants, on a aussi hâte de reprendre le travail et de dépenser un peu plus d’énergie.

 À moins que l’on aille une aventure qui nous arrive dans les deux prochains jours qui vaille la peine d’être raconter, cet article sera le dernier de la saison. On termine notre cinquième saison et nous sommes toujours heureux de notre choix de vie, on reprendra la route en octobre prochain, rien de réserver, pas de plan fixe, mais étant donné qu’on se tanne pas de manger des tacos et que la plage de Punta Pérula ne nous a laissé rien d’autres que de bon souvenirs, on pense bien qu’on n’aura pas besoin de GPS.


Merci de nous avoir lu et revenez voir notre blogue l’automne prochain.

jeudi 27 mars 2014

Tupelo, où tout a commencé.

C’est ce qu’ils disent dans leur pamphlet publicitaire, ‘’Nous connaissons tous la fin à Graceland mais voilà comment c’a commencé’’. 

Graceland vous a probablement mis la puce à l’oreille, hey oui on parle d’Elvis et de sa ville natale Tupelo.

On avait fait un arrêt il y a quelques années à Memphis pour  voir LA maison d’Elvis, ce qu’on appelle aussi Graceland, ici à Tupelo Mississipi il y a la maison dans laquelle Elvis est né. La maison est environ 15 pieds par 30 pieds et compte deux pièces. Son père l’avait bâti en empruntant $180 de son patron, il n’a malheureusement pas pu rembourser son prêt et il perd la maison trois ans plus tard.



Elvis a vécu à Tupelo jusqu’à l’âge de 13 ans, par la suite sa famille s’installe à Memphis pour avoir un avenir meilleur. Le film de 30 minutes que l’on projette au centre d’accueil nous montre une reconstitution de ce que aurait été la vie de Elvis jusqu’à ses 13 ans.

Ce site n’a pas le faste et la luxure du site de Graceland, mais Tupelo était sur notre chemin alors on s’est dit pourquoi pas. Le site est environ 10 minutes du Natchez Parkway, la visite prend 2 heures tout au plus.

D’avoir mis les pieds dans la chambre ou Elvis le King du rock and roll a vu le jour, a quand même donné des frissons à Sandra.


vendredi 21 mars 2014

Magnolia se refait une beauté





Depuis l’épisode des requins en octobre passé à Magnolia il s’est fait bien des travaux. À notre arrivée le 16 mars, on a pu constater que le nouveau bloc sanitaire est maintenant en place. Les tables de pic-nic  et leur  abri en bloc de béton ont étés réparés et repeint. Pour le reste Magnolia Beach demeure venteux mais paisible. Pas de requins cette fois mais ce n’est pas faute d’avoir essayé, Sandra as passé le plus clair de son temps assis devant ses deux cannes à pêche. Des barbottes et des witening, poisson à chair blanche assez commun dans les eaux du golf, tentative de faire de la ceviché (chaire cuite dans le jus de lime) avec ses prises mais elle se décourage.  Notre voisin Ron un homme de 80 ans lui a même prêter une paire de cuissarde pour qu’elle puisse aller à l’eau question d’aller lancer la ligne plus loin donc plus creux.



Il y avait plus de monde que d’habitude, une trentaine d’unités certains jours, plusieurs francophone du Québec. On reprend la route après quatre nuits passés à Magnolia, direction Marksville et le Paragon Casino RV park, on est dû pour le buffet de patte de crabe.


mardi 18 mars 2014

County Park Adolph Tohmae Jr

Après une semaine à Harlingen au Sunshine RV Park apres le retour du Mexique, on décide de  visiter le County Park Adolph Tohmae Jr., endroit de prédilection de quelques saisonniers du Sunshine RV park qui vont, le soir venu pêcher la truite de mer sous la lumière des projecteurs qui surplombent les deux quais aménagés pour la pêche.
Premièrement ce n’était peut-être pas une bonne idée d’y aller une fin de semaine, deuxièmement,  ce n’était peut-être pas une bonne idée d’y aller la fin de semaine qui termine le spring brake. 

‘’Du monde en veut tu en vlà’’, le vendredi on a sortis les cannes a pêche mais on a commencé à pêcher seulement vers dix heure le soir, avant il y avait trop de monde et c’était le festival de ‘’I am sorry’’ , je suis désolé d’avoir lancé ma ligne par-dessus la tienne etc. À un certain moment on entend un gros bang, comme un coup de marteau sur le plancher du quai, il s’agissait d’enfants qui lançaient leurs lignes en direction du quai à partir de la rive. Comme on ne voulait pas servir de prise à ces pêcheurs en herbe on a décidés d'attendre qu'ils aillent se coucher.


Daniel, Marcel, Gaétan et Pierre du Sunshine sont venus nous rejoindre, ils sont des habitués du parc et on a pu apprendre les rudiments de cette pêche à la flotte avec leur conseils. Tu lance ta ligne vers le milieu du canal, au bout de la flotte il y a 24 à 30 pouces de ligne avec au bout un hameçon, mais là réside le secret, il faut une crevette vivante sur l’hameçon pour que les truites s’y intéressent. Nos crevettes congelées n’ont pas réussi à faire saliver suffisamment les truites pour qu’on puisse en prendre, deux barbottes plus tard et minuit passé on plis  bagages et on va se faire des toasts avant de se coucher. Grace à la générosité de Daniel on a pu gouter à la truite de mer, il nous en a donné une avant de partir.


Le lendemain on tente notre chance durant le jour mais on ne prend rien, le soir venu je me dirige en éclaireur au quai pour évaluer l'achalandage, pire que la veille. Il y avait un bon film à super écran, je peux vous résumer le film mais pas grand-chose à dire à propos de la pêche.

Si vous aimer le calme s’est pas la place à aller, oui c’était le spring brake et il y avait achalandage, mais le bruit viens des génératrices ou de ceux qui écoute leur musique à partir de leur auto les quatre portes ouvertes la musique au fond. On a aussi eu droit à un ronronnement de moteur diesel pendant les deux jours. Un ‘’épais’’ qui je ne sais pour quel raison, a laissé son moteur de motorisé en marche toute la fin de semaine ! Il y a l’électricité, alors pourquoi voudrais tu laissé ton moteur en marche. Notre voisin immédiat qui s’est pointé le samedi avec un fifth weel a laissé tourner sa génératrice jusqu’à minuit. Y’était tu trop lâche pour sortir son fil et se branché dans le poteau, je ne le saurait jamais car je ne lui est pas demandé, il est parti tôt le lendemain avant même qu’on mette les pieds dehors. On s’en va à Magnolia, le seul bruit qu'on va entendre ce sera celui du vent.

dimanche 9 mars 2014

Toute une route


Nous voilà de retour chez l’oncle Sam depuis vendredi le 7 mars, en ce dimanche matin les culottes longues sont de mises. Le système de chauffage fonctionne encore bien lui que l’on n’avait pas utilisé depuis quelques mois... On passera la semaine ici à Harlingen et par la suite la température guidera nos déplacements jusqu’au retour quelque part les premiers jours d’avril.

Mais le but aujourd’hui est de vous parler de la nouvelle route récemment ouverte reliant Mazatlan et Durango. Avant aout 2013, pour aller d’une ville à l’autre il fallait prendre la route 40 qui traverse ce qui est appelé la espinosa del diablo, l’épine dorsale du diable en Français. J’en avais entendu parler par différente personne et toutes les publications relative au voyage en VR mentionnent que cette route était à éviter car trop dangereuse. La topographie est unique et déjà d’avoir construit une route à un endroit semblable était un exploit. Avec la possibilité de creuser des tunnels et de construire des ponts le diable a eu droit à toute une chirurgie.

On va de pont à tunnel, de tunnel  à pont de maintes fois, les routes de Charlevoix sont de la petite bière à côté de ça, malheureusement aucun endroits possible pour s’arrêter et prendre des photos, mon co pilote en a prises quelques-unes à travers les fenêtres du motorisé qui sont pas pire quand même. 




Nous ne pensons pas retourner à Mazatlan éventuellement et je suis bien content d’avoir parcourue la nouvelle 40D, Mazatlan-Durango. Nous avons continués sur la 40D jusqu’au moment de sortir pour le Texas. La 40D traverse une partie des villes de Torreon et de Saltillo, ce n’est pas trop congestionné comparativement à Guardajara, quoi que les Mexicains n’y soient pas plus courtois au volant. On contourne Monterey par le péréférico et le dernier 250 kilomètres se fait en ligne droite jusqu’à Reynosa. Pour ceux voyagent sur les autopista Mexicaine, il y a ce site www.redviacorta.mx  ou il est possible de faire la route (disena ta ruta) et de voir le coût pour les péages à l’avance, utile quand le préposé au poste de péages ne sait pas trop comment nous charger. On peut voir dans leur figure le questionnement est-ce un autobus, un camion, quoi une auto accrocher en arrière, ça ne rentre pas dans aucune des catégories préprogrammé sur son clavier de caisse enregistreuse. J’ai utilisé à deux reprises la feuille imprimée de leur site web en la montrant au préposé qui me réclamait plus d’argent, je m’en confesse quand il ne me chargeait pas l’auto je ne m’obstinais pas, ce qui fut le cas à trois ou quatre reprises.




mercredi 5 mars 2014

Mazatlan, dépaysement non inclus


Chacun est différent pour ses préférences quand vient le temps de voyager, personnellement j’aime bien me sentir dépayser, voir des différences et sentir que je suis ailleurs. À Mazatlan on a plutôt l’impression d’être en Floride ou quelque part sur la côte ouest Américaine, toutes les grandes chaines connues sont présentes, les petits commerces Mexicains s’affichent en Anglais, et la plupart des gens qu’on aborde parlent Anglais. La zone où est situé notre camping est semblable à bien des bords de mer qu’on a vu au pays de l’oncle Sam, les hôtels ont envahis le coté de la plage, de la rue on ne voit pas la mer qui est pourtant si proche. Heureusement ils ont conservé une bonne partie du bord de mer pour  une promenade piétonnière, la malécon qui est très belle et longue, environ 4 km.

La plage est correcte mais on a vu mieux, en fait on ne voit pas beaucoup de gens s’y baignés. Le festival de l’achalage commence aussitôt qu’on met les pieds dans le sable, par contre le reste du temps on ne se fait pas trop solliciter, ils exposent leur cossins mais ils ne sont pas trop insistant.

Le centre historique est plaisant à marcher, le mercado est une attraction en soi, plus de stock que dans un Jean Coutu,  on y trouve de tout mais pas d’ami!  La vidéo attachée est prise de l’allée centrale du mercado.



Le bord de mer dans la section historique de la ville est très bien aménagé, le jour de notre visite il y avait  beaucoup de kiosques de hot-dog et de bière, c’est le carnaval après tout. Je ne suis pas capable de me rappeler ou j’avais vu ce qui restait d’une piscine à même la mer, mais ici il y en a une toujours bien fonctionnel, on se casse pas la tête pour filtrer l’eau, les vagues font le travail, de l’eau de mer fraiche continuellement.



On est venus à Mazatlan pour voir Mazatlan mais surtout son carnaval qui est parmi les plus grands carnavals au monde. Feux d’artifice, parade, spectacles et festivités de tout genre, il y en a pour tous les goûts.  On avait mis sur notre liste de choses à faire la dégustation des spécialités régionales du Mexique, malheureusement on ne l’a jamais trouvé, la dame à qui on parle nous dis,’’ si si a le stadio’’, le stade. On prend un taxi et du centro on se dirige au stadio, c’est le stade de baseball et c’est fermé. On commence à avoir faim et on se rappelle d’avoir vu un restaurant italien avec four à bois extérieur qui semblait faire de la bonne pizza. Confirmer, le restaurant Villa Italia sur Avenida Del Mar en face de l’hôtel El Cid fait de la très bonne pizza.

Dimanche soir il y avait la première parade, qui part du centro pour se diriger vers le nord sur la melécon, on nous avait dit que la parade devrait arriver vers 7.30 pm au bout de la malécon. On a pas à se presser que je dis à Sandra, les Mexicains sont toujours en retard, on arrive vers 7.45 pm, de loin on voit des autobus et des camions bondés de monde qui s’éloignent, on commence à se demandé si on n’est pas arrivés trop tard. La foule ne semble pas vouloir aller nulle part, il doit y avoir plus à venir. Une dame à qui on demande ‘’es que todo terminado’’ elle nous répond en Anglais non ce n’est pas encore commencé. On a en fait vu la fin de la première partie qui est composé de plusieurs groupes communautaires et autres. Elle nous indique aussi que les lumières rouge et bleu des autos de police qu’on voit au loin est le vrai début de la parade. Ça avance pas vite, graduellement la rue se remplis de fêtards et on commence à se demander où va passer la parade. Les Mexicains pas trop disciplinés de nature prennent le contrôle de la rue et il n’y a plus vraiment de délimitation entre la partie piétonnière ou se tienne les spectateurs et la rue, c’est une mer de monde.
 Après plus d’une heure on voit enfin le nez du premier char allégorique qui se pointe enfin. Miss Pacifico du haut de son perchoir en forme de canette  de bière donne le ton au défilé. Aucunes des danseuses et danseurs n’a de bedaine de bière, avec le peu de tissus de leur costumes pas de place pour les cachettes, WYSIWYG, abréviation pour ‘’what you see is what you get’’ expression anglaise en informatique qui veut dire, ce que tu vois c’est ce que tu as. Ça fait vraiment changement des manteaux d’hiver, des tuques  et des foulards qui emmitouflent les figurants des parades du carnaval de Québec.  Il y a beaucoup d’animation, de musique, de couleur et de pétards, mais ça n’avance pas, à certains moments la parade devient statique, elle fait du sur place de longues minutes. Je pense que la bonne veille technique des policiers de Quebec, qui zizaguent avec leur motos en repoussant les gens qui occupent la rue devrait être utilisée ici. On se tanne et on rentre au camping,  en se disant qu’on ne verrait jamais la fin.



On est retournés à la parade du mardi, quelle différence. Premièrement, le défilé prend son départ près de l’aquarium et se dirige vers le centro, deuxièmement  beaucoup moins de monde, troisièmement  ça commence à 4.00 pm et il fait encore soleil. Cette fois on voit toute la parade.




Il y a deux choses d’unique à Mazatlan que je ne j’ai jamais vu ailleurs, la forme de leur taxi à aire ouverte et les affiches qui indiquent le nom des rues, elles sont commandités. Le nom de la rue dans la partie haute de l’affiche, au milieu une flèche pour indiquer si c’est un sens unique ou pas et en bas le nom et le logo d’un commerce. Les noms de rue est pratiquement introuvable dans la plupart des villes mexicaines, ici on s’y retrouve plus facilement, pas moyen d’être dépayser ni chance de se perdre à Mazatlan.


Nous avons séjournés au San Fernando RV Park sur Tiburon Av, dans le secteur Dorado. Le camping est bien à 155$ US par semaine, électricité incluse. Le San Fernando et le San Bertolo administrés par la même famille seront les deux seul campings ouvert l'an prochain, apparemment que celui en bord de mer fermera ses porte pour faire place à autre chose, surement des condos. Il y a d'autre camping du coté de Mazatlan nord ou ce qu'ils appellent ici le Nuevo Mazatlan. On en a visités aucun, mais on a fait la route à notre arrivée voulant contourner le centre ville le plus possible, c'est bien il y a tout les commodités nécessaire mais ça fait un peu loin du centro.